Page 182 - BIRGER EBOOK
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BIRgeR Comores
En avril 2011, Birger Comores (BC) commence son activité de support aux banques, à travers
l’installation et la maintenance des GAB. Les techniciens de Blanche, Birger basés à Maurice se
déplacent parfois aux Comores, pour résoudre des problèmes spécifiques, et pour former
techniquement l’équipe comorienne.
Le marché comorien se développe avec des demandes ponctuelles de la part des clients à Anjouan,
Mohéli et La Grande Comore. En septembre 2014, le gouvernement comorien choisit BC à travers son
programme de Projet de Renforcement des Capacités Institutionnelles (PRCI - Comores), financé par
la Banque africaine de développement (BAD) pour informatiser le Ministère des finances des Comores
dans le but de mieux gérer les dépenses publiques.
En mars 2015, un contrat est octroyé à BC pour l’installation d’un réseau de TPE aux Comores pour la
Banque d’Industrie des Comores (BIC), filiale du groupe bancaire français BNP Paribas.
BIRgeR Rodrigues
Le bureau de Port Mathurin
Depuis 1990, Blanche, Birger est actif sur le sol rodriguais à travers la vente et la maintenance
de produits bureautiques qui nécessitent l’intervention régulière des techniciens sur place.
Des photocopieurs des marques japonaises Nashuatec puis RICOH sont installés dans des banques,
des écoles et des bureaux par Jean-Pierre Lebreux et son équipe.
À partir de mai 2012, Birger Rodrigues (BR) s’implante à Port Mathurin au Centre Cardinal Jean
Margéot. Cela facilite les services d’installation et de maintenance technique des GAB pour les banques
sur l’île. Ce bureau offre, de plus, un service après-vente à sa clientèle locale.
Serge Clair, le Chef Commissaire de Rodrigues, explique lors de l’ouverture de BR, comment il imprimait
à Rodrigues le petit journal intitulé « L’Organisation », son principal outil de communication entre 1976
et 1982. Il utilisait alors le duplicateur Gestetner fourni par Blanche, Birger et pourvu d’une manivelle.
Pour le faire fonctionner, un stencil était tapé manuellement puis inséré sur le tambour de la machine.
L’encre en tube était placée dans le réservoir et la machine produisait une copie à la fois tandis que
l’utilisateur devait tourner la manivelle tout au long du processus de duplication.
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